[Ligue des Champions] Leipzig – PSG : les notes

En guise de revanche de l’été dernier, Leipzig et le PSG se retrouvaient ce soir, dans un match où les parisiens étaient privés de très nombreux titulaires. Dans une rencontre emballée, mais pas franchement maitrisée de part et d’autres, ce sont les allemands qui s’imposent 2-1 et qui forceront les parisiens à une phase retour bien meilleure s’ils souhaitent passer le cut et aller en huitième de finale…

Leipzig

Gulacsi (7) : En difficulté face au PSG il y a quelques mois, il a répondu présent aujourd’hui et garde Leipzig en vie.

Mukiele (5) : Il s’est fâché avec le ballon récemment ?

Konaté (4) : On sent clairement le manque de rythme dans son jeu mais, au moins, il n’a pas fait d’erreur grave.

Upamecano (2) : Pas sûr de pouvoir passer Noël avec sa famille, il a décidé d’offrir des cadeaux aux parisiens.

Orban (3) : Presque aussi généreux que son ami Dayot.

Angeliño (5) : Le seul ailier de Leipzig cette saison ?

Haidara (4) : Jamais il ne doit louper une telle occasion face à Navas.

Sabitzer (5) : Capitaine courage assez discret ce soir.

Forsberg (7) : Ne tremble jamais. Il est bien suédois.

Nkunku (6) : L’ex qui te pourrit la vie à la moindre occasion. On connaît, tu connais, le PSG connaît aussi.

Olmo (4) : Ce n’est pas un faux 9. On ne sait pas ce qu’on doit détester le plus les soirs de ligue des champions, tes costumes loufoques ou tes compos bizarres, Julian.

PSG

Navas (6) : Toujours irréprochable sur sa ligne, il n’a pas pu empêcher les erreurs de ses coéquipiers.

Kurzawa (5) : Nostalgique, il cherche toujours à faire la passe à Nkunku.

Danilo (4) : Un milieu qui joue défenseur, sans avoir les réflexes ni d’un milieu, ni d’un défenseur.

Kimpembe (5) : Le fait de faire une main qui coûte la victoire à son équipe en Ligue des Champions s’appellera désormais une « Presko ». Mainstro Kimpembe, Kimpembe…

Florenzi (5) : Avec un tel cardio, on peut légitimement penser que Verratti partage ses clopes avec lui après les entraînements.

Marquinhos (5) : Tuchel pense toujours qu’il peut jouer milieu ? Nkunku pourrait le pousser à réflechir.

Gueye (3) : Comme Zidane il joue au milieu et comme Zidane il prend un carton rouge qui pénalise son équipe. La comparaison s’arrête là.

Hererra (3) : Vu le niveau d’analyse de jeu, les discussions tactiques avec Tuchel doivent être lunaires…

Sarabia (3) : À 28 ans passé, il n’est pas trop tard pour envisager une réorientation très loin des terrains de foot.

Di Maria (6) : Un but marqué, un autre hors-jeu, un péno manqué, des dribbles monstres et beaucoup d’amour dans le jeu, El Fideo a fait passer les Parisiens par tous les états possibles ce soir.

Kean (6) : La seule raison pour laquelle il n’a pas marqué ce soir se résume au pressing nécessaire de cinq joueurs lipsiens.

Le centre de formation parisien (2) : Après Coman, c’est Nkunku qui éteint le PSG en Ligue des Champions. Produire des pépites est une chose, les garder en est une autre.

Credit photo : IconSport

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