[Liga] Real Madrid – Valence : les notes

Est-ce que Zizou et Benzema vont aller chercher le titre de Liga ? A neuf journées de la fin, tout est en tout cas ouvert entre le Real Madrid et le FC Barcelone. Ce soir, les coéquipiers du Nueve se sont débarrassés de Valence (3-0), dans un match longtemps complexe … Pas ultra rassurant mais l’important, c’est les trois points !

Real Madrid

Courtois (6) : Sauvé par son poteau puis le VAR mais on lui fait confiance pour trouver une raison de se plaindre.

Carvajal (6) : Trop remuant pour rester confiné.

Varane (7) : L’assurance tout risque de la Maison Blanche.

Ramos (6) : Patron à la maison.

Mendy (6) : Agent de réinsertion de Marco Asensio.

Casemiro (4) : Sa victoire à lui : terminer sans prendre de carton.

Kroos (6) : Horloger et artificier : l’industrie de pointe allemande à lui tout seul.

Valverde (5) : Trop jeune pour être de droite. Remplacé par Asensio (7), buteur et passeur décisif pour son retour.

Modric (5) : Désolé Luka, les plages de rêves croates, ce n’est pas pour tout de suite.

Hazard (6) : Une passe décisive pour mettre un terme à la blague belge de la soirée.

Benzema (9) : Pas besoin d’études scientifiques pour démontrer son efficacité.

Valence

Cillessen (5) : Toujours ce courant d’air glacé qui nous passe sur l’échine au moment où le ballon arrive dans ses pieds.

Wass (3) : A la rue sur les deux premiers buts du Real.

Guillamón (7) : Deuxième match en pro. Surréaliste.

Mangala (4) : Vite dépassé par les offensives madrilènes, il aura usé de tous les coups pour tenter de stopper les attaquants adverses.

Gayà (4) : Son impact offensif aura beaucoup manqué.

Soler (4) : Sans influence sur le jeu, comme trop souvent cette saison.

Parejo (4) : Maestro sans partition, sevré de ballons dans une équipe peu mobile.

Kondogbia (5) : Il a commencé le match tambour battant, puis s’est éteint au fil du match.

Ferran Torres (4) : La spontanéité qui a fait sa force pendant plusieurs mois a manqué à l’appel.

Rodrigo (8) : On a pris la liberté de le noter comme si le téléphone rouge de Florentino Pérez n’avait jamais existé.

Maxi Gómez (5) : Pivot utile, presque passeur décisif par une feinte intelligente avant la décision polémique du jour. Le colosse s’est effondré ensuite.

Crédits photos : IconSport

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