[Europa League] FC Séville – Inter Milan : les notes

On espère que vous vous étiez mouillé la nuque. Après le retour de la ligue 1, c’était la finale de l’Europa League ce soir. Une pluie de buts, une belle opposition et une victoire finale pour Séville. Les notes :

Séville :

Bono (6) : A nouveau une belle prestation de la part de Bounou.

Navas (8) : 47 ans, toutes ses dents et tout son talent.

Kounde (7) : Autant de cheveux sur le crâne que de qualités footballistiques.

Diego Carlos (10) : Homme du match. Merci pour ce spectacle haletant. On se serait ennuyé sans toi.

Reguilon (7) : Avec cette finale tout en démonstration, nul doute que Reguilon trouvera chaussure à son pied pour la saison prochaine.

Jordan (7) : Blaze de chômeur mais match de patron.

Fernando (6) : Un sens du sacrifice à toute épreuve. #àlaguerreavecFernando

Banega (7) : Passes, interceptions, duels gagnés et insolence face à Conte : carton plein pour son dernier match à Séville.

Ocampos (4) : Après les larmes de désespoir en 2018, les larmes de joie en 2020. La routourne a tourné Lucas.

De Jong (8) : C’est pas De Jong c’est De Hoofd. (Vanne sponsorisée par Google trad, merci à eux)

Suso (5) : Prestation moyenne pour l’ancien rossonero, qui s’est contenté d’être aux premières loges pour assister à la défaite de son ancien ennemi.

Inter :

Handanovic (4) : Spectateur privilégié.

Godín (4) : Défensivement en difficulté. Mais offensivement, Diego, libre de la tête.

De Vrij (5) : Pas d’erreur majeure. Mais étrangement invisible sur les buts adverses.

Bastoni (5) : Le minot intériste n’a pas démérité face à un Navas décidé à lui en faire voir de toutes les couleurs.

D’Ambrosio (3) : A mis plus de cartouches à Reguilón qu’il n’a touché de ballons.

Barella (6) : Dommage que le joueur sensé bonifier son énorme activité soit d’Ambrosio.

Brozovic (5) : Quand on ne le trouve pas, le ballon ne progresse pas.

Gagliardini (3) : Stefano Sensi aura décidément beaucoup manqué au milieu de l’Inter en 2020.

Young (4) : N’a pas brillé par sa solidarité avec son jeune coéquipier situé derrière lui.

Lukaku (4) : Comme Thanos, il met une raclée à Diego « Hulk » Carlos d’entrée… et se fait avoir à la fin.

Lautaro (4) : Certains vont s’habiller chez Jules, lui c’est Jules qui l’a rhabillé.

UEFA/Pool/Icon Sport

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