A l’occasion de la sortie de Football Manager 2018, Sport Interactive et UltimoDiez ont décidé de s’associer afin de vous présenter ce nouvel opus riche en nouveautés. Quelles sont les équipes les plus jouées ? Quels sont les plus beaux challenges à tenter ? Pourquoi préférer un jeu de gestion à un jeu de simulation ? et bien d’autres articles vous seront proposés afin de vous faire (re)découvrir le plus grand jeu de gestion footballistique du monde.
Football Manager 2018 revient comme tous les ans avec un opus plus précis, plus proche de la réalité. Et comme chaque saison les mêmes questions qui te hantent. Quel club prendre ? Quel défi relever ? Opter pour son club de cœur ? Choisir un projet dans les bas étages pour mieux remonter et briller ? Mise en lumière des quelques clubs les plus choisis, explications en prime.
AC Milan : Le Retour en force des Rossoneri
8e, 10e, 7e, 7e c’est le classement de l’AC Milan depuis quatre saisons. De quoi faire rougir de honte les fans de club rossonero. Mais bonne nouvelle pour toi, depuis l’arrivée effective des investisseurs chinois l’espoir de figurer dans les premiers rôles est enfin revenu. Deux cent millions d’euros sur la table pour des nouveaux joueurs en veux-tu en voilà, et ce bien sûr avant que tu n’effleures ton clavier pour un recrutement dans la vraie vie digne de Football Manager.
Un challenge qui séduit un bon nombre d’entre vous et ça se comprend : un gros budget, un onze tout entier composé de grands espoirs prêts à éclabousser la Serie A de leur talent (Kessié, André Silva), des valeurs sûres du jeu (Rodriguez, Musacchio, Çalhanoglu, Biglia) et une star mondiale derrière (Bonucci) pour faire vibrer la Serie A.
Tout pour faire revenir l’ex-club de Berlusconi sur le devant de la scène italienne et européenne. Un beau défi dans une Serie A redevenue désirable et moins déséquilibrée avec notamment la folle attaque de Naples, une Roma plus stable, le rival Interiste en fin de rémission et la Lazio d’Immobile en embuscade.
FC Nantes : Le plaisir en jaune et vert
Cette année on opte pour Nantes et son come-back sur la scène médiatique. L’avènement du coach Sergio Conceição sur la demie saison 2016-2017, le retour du jeu léché et porté vers l’offensive puis l’arrivée du coach Champion d’Angleterre 2015 Claudio Ranieri à la Jonelière, plus pragmatique mais diablement efficace, ont remis le FC Nantes en selle. Un effectif avec deux-trois jeunes prometteurs (Dubois, Rongier, Thomasson) tous forts d’au moins déjà une saison de Ligue 1 dans les pattes.
Dans le mythique écrin de La Beaujoire (Louis Fonteneau) il est temps que l’histoire se renouvelle. Ton arme sera le prêt avec salaire pris en charge à 30% pour ce joueur français en échec au pays d’Harry Kane, ou cet espoir anglais en manque de temps de jeu dans un club du Big Four ou dans le ventre mou de BPL, cet original qui acceptera de jouer en jaune et vert alors que ce n’est pas Norwich.
Évidemment le vieux fantasme du retour du jeu à la nantaise entrevu la saison dernière est à la mode. Avec un recrutement malin car avec peu de moyens néanmoins, tu peux espérer gratter avec une le FC Nantes une place dans une compétition européenne et pourquoi pas concurrencer les ogres Paris et Monaco en championnat.
Wolverhampton : Les Wolves, une faim de loup
Quel joueur de Football Manager qui se respecte n’a pas déjà été accroché ou défait par les terribles Wolves de Wolverhampton ? Habitués à faire le yo-yo entre la British Premier League et le Championship, les Wolves reviennent avec un budget et une ambition plus séduisante que jamais.
Pour le moment, les Loups se baladent en championnat et l’influent agent mondialement connu Jorge Mendes y est pour beaucoup. En plaçant contre toute attente les deux joyaux portugais Diego Jota et Ruben Neves au sein du club, l’attractivité du club anglais est clairement revue à la hausse.
Des vieux briscards de BPL deux jeunes à énorme potentiels, un jeu léché et un budget hors norme. Parfait pour un joueur à l’affût d’un beau défi plein de livres sterling.
Tout te pousse à créer ta propre histoire et te lancer dans la formidable aventure avec Wolverhampton, pour tenter de s’ouvrir les prestigieuses portes de la Premier League.
Forest Green Rovers Football Club : Hipster-vegan avant tout
Bien que ce club évolue modestement en League Two (4e division anglaise), il a beaucoup fait parler de lui dernièrement. On parle du club le plus écolo au monde !
Depuis son arrivée en 2010, le proprio Dale Vince a mis tout le club au vert ! Fini de viande rouge, une pelouse à base de bouses de vaches et un stade en bois ecolo-friendly de 5000 places pour un village de… 6000 habitants ! Le Guingamp anglais en somme si l’on parle de superficie mais en version green-washing.
Pour ce qui est de l’équipe, tu ne connais probablement aucun joueur mais c’est le challenge c’est Football Manager par excellence. Pimenté par un background inédit dans le football. Le défi montada de cet opus !
Napoli : Le spectre de Maradona
La dernière fois que le Napoli a soulevé le Scudetto, le mur de Berlin tenait encore droit comme un I, la mode était aux shorts trop courts et l’idole du coin portait le cheveu long, un certain Diego Maradona. Presque 30 ans après le Scudetto 86-87, le SSC Napoli a retrouvé un jeu flamboyant au contact de Sarri et n’a jamais semblé aussi proche de coiffer la Juve au poteau.
Si vous réussissez à rameuter quelques pépites pour garnir cet effectif, la Ligue des Champions pourrait également être palpitante à jouer.
Un budget initial assez ambitieux, une défense solide avec la montée en puissante de Coulibaly, le maestro et capitaine emblématique Hamisk et un Mertens dans la forme de sa vie en attendant le retour de Milik, le Napoli « new gen » est une équipe qui veut briller par son jeu porté vers l’attaque.
Constituée pour les fans nostalgiques fans du Pibe de Oro ou non, si tu aimes le bleu ciel et les ambiances chaudes à domicile le Napoli est fait pour toi. Clairement l’équipe européenne en vogue de ce début de saison.
Si toi aussi tu veux prendre en main l’une de ces équipes, c’est ici que ça se passe !
Photo credits : AFP PHOTO / JEAN-FRANCOIS MONIER