[Serie A] Atalanta – Inter : Les notes

Pour la dernière journée de Serie A, Bergamasques et intéristes se disputaient la seconde place dans un ultime choc. Position de dauphin acquise par l’Inter face à une Dea en roue libre (0-2).

Les notes de l’Atalanta :

Gollini (non-noté): Blessé d’entrée après que D’Ambrosio lui ait balancé Gosens dans les pattes sur le 0-1. Remplacé par Sportiello (4): Encaisse un but sur le premier tir qu’il subit.

Toloi (4): Passé ce soir de « défenseur méconnu au bel apport offensif » à « meilleur attaquant que défenseur ».

Caldara (4): A le mérite de ne pas d’être écroulé une seule fois malgré ses nombreux duels avec Lukaku.

Djimsiti (4): Pas plus rassurant que ses deux associés.

Castagne (5): Le danger est principalement venu de son côté, mais ça reste léger.

De Roon (5): Il y avait trop à faire, même pour l’homme à tout faire de la Dea.

Freuler (4): L’horloger Suisse de l’entrejeu a fait « coucou » à chaque passe plein axe en direction de Lukaku réussie.

Gosens (3): Secoué par D’Ambrosio dès la 1e minute sur l’ouverture du score, complètement à l’envers par la suite. Robin Nonsens.

Pasalic (3): Son double monégasque a soudainement refait surface.

Gómez (4): Il n’a jamais réussi à prendre le contrôle du jeu comme à son habitude.

Zapata (5): Il aura retourné le problème de la défense interiste dans tous les sens. Bien trop esseulé néanmoins.

Les notes de l’Inter :

Handanovic (6): Petite soirée tranquille.
 
Godín (7): Souvent en difficulté cette saison, l’Uruguayen termine son championnat par un gros match.
 
De Vrij (7): Duvan Zapata ? Même pas peur.
 
Bastoni (6): Il continue tranquillement de s’installer dans le trio défensif nerazzuro.
 
Young (8): Un centre au cordeau sur la tête de D’Ambrosio, une superbe frappe petit filet et des aller-retours incessants dans son couloir. Son séjour italien ressemble à une cure de jouvence.
 
D’Ambrosio (6): Second match ponctué d’un but pour lui. Est-on en train d’assister à la naissance d’un renard des surfaces ?
 
Gagliardini (5): Si le milieu adverse comptait un citoyen helvète, ce soir lui aussi fût un bel exemple de neutralité.
 
Brozovic (6): Toujours juste, que ce soit pour fluidifier le jeu ou couper une attaque adverse.
 
Barella (6): Grosse activité pour le petit italien. Tout en dynamisme, il s’est illustré tant à la récupération qu’à l’orientation.
 
Martinez (6): Très tonique, les Bergamasques ont plusieurs fois sorti la faux pour tenter de réprimer ses ardeurs. Dans le ton en pleine saison des moissons.
 
Lukaku (4): Plus pataud que pesant.
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