Dans ce Classico retour, joué dans un Vélodrome chauffé à blanc, c’est un facile PSG qui s’impose 1-5 face à un OM extrêmement triste. Pas de blabla, place aux notes.
Les Marseillais
Pelé : A vécu son dernier Classico. N’en gardera pas un grand souvenir.
Evra : Après une première mi-temps à la limite du ridicule, le chauffeur de salle le plus prisé du game est resté prendre une douche, laissant Bedimo prendre sa place pour les 45 dernières minutes.
Rolando : Il n’avait pas réussi à tenir Sala il y a deux semaines, alors on se doutait bien qu’il galèrerait face à Cavani. Bah ça n’a pas raté.
Fanni : A la base il est revenu pour retrouver Franck Passi et pour s’éloigner de la pluie de Charlton, il avait pas signé pour les Classico devant 66000 personnes.
Sakai : Tel un mauvais sushi, c’était immonde visuellement et gustativement.
Zambo le Dozo : Il aura vécu de belles choses pendant son BTS Footballeur en alternance à l’OM. Mais une fois l’année passée, c’est la dure entrée dans la vie active qui l’attend.
Vainqueur : Il a lâché quelques tacles rageurs mais la qualité des milieux parisiens était trop pour un seul homme.
Lopez : Pas (encore ?) de taille pour ce type de match.
Payet : Seul joueur de grande classe de l’effectif olympien, il doit compter les jours qui le séparent du prochain mercato. Courage Dimi, des footballeurs arrivent.
Thauvin : Combatif. Aura bien mérité son massage des pieds par Charlotte.
Njié : RAS. Rien à secouer. Il va partir, il ne voulait pas venir, l’OM veut pas le garder.
Les Parisiens
Trapp : Il a sorti sa grille de mots croisés. « Groupie opportuniste » en 7 ? Rihanna ?
Kurzawa : Peut-être l’un de ses meilleurs matchs de la saison (bien aidé par un couloir droit olympien désastreux). Bon à partir de la 60ème, il a joué ailier gauche…
Silva : Rien à faire derrière. Passeur décisif sur le but de Marquinhos. N’a pas considéré cet évènement comme assez important pour feindre une blessure, c’est dire la confiance parisienne avant ce match.
Marquinhos : Buteur. Et c’est tout ce qu’il faut savoir.
Meunier : Le grand Toto a encore fait un match XXL. Aussi bien devant que derrière. C’en est fini de Serge Aurier …
Rabiot : Le marquis s’est baladé et a fait éclater sa classe au milieu. Sa relation avec Verratti semble pouvoir faire exploser tous les milieux de terrain d’Europe.
Verratti : Sans forcer, il a déroulé. Ca a amplement suffi.
Matuidi : Il a mis son petit but au Vélodrome, il a fait sa petite danse. Les Classico au Vélodrome se suivent et se ressemblent pour Blaisou.
Pastore : Toujours pas footballeur professionnel à plein temps mais grand entertainer. Sa passe décisive pour Cavani est exceptionnelle. Son coup du foulard est pour la forme.
Lucas : Un QI foot toujours proche du négatif, mais une belle capacité à mettre des buts qui ne comptent pas. Donc à la fin de saison, la ligne de stats est remplie.
Cavani : A abordé Fanni et Rolando comme il aborde son bol de Frosties.