Tops/Flops Wolverhampton – Arsenal : David Luiz plombe les Gunners, Moutinho le canonnier

C’est un duel de milieu de tableau qui opposait Arsenal à Wolverhampton en ouverture en la 22e journée de Premier League. La bonne première période des Gunners, sublimée par le but de Nicolas Pépé, a été jetée à la poubelle par l’expulsion de David Luiz et le penalty concédé juste avant la mi-temps. Les Wolves finissent par s’imposer (2-1) face à Arsenal réduit à neuf. Voici nos tops et nos flops de la rencontre. 

Tops

Le canonnier s’appelait Moutinho

Le milieu portugais nous a offert un bijou. D’une frappe aux 25 mètres, João Moutinho a trouvé la lucarne de Bernd Leno et offre l’avantage décisif aux siens.

Pépé dans un trou de souris

L’ailier aurait pu être le héros de la soirée. Il se défait de Semedo puis enchaine parfaitement : petit pont suivi d’une frappe côté opposé qui finit dans le petit filet.  

Neto virevoltant

L’international portugais a multiplié les efforts sur les côtés. Il aurait pu être récompensé par un but ou une passe décisive. 

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Flops

Traoré rend (encore) une copie blanche

Révélation du championnat l’an passée, Adama Traoré conserve un compteur but à zéro cette saison. 

La défense d’Arsenal abandonne le navire

Alors que la rencontre semblait sous-contrôle, la défense des Gunners a totalement fait sombrer son équipe. Ils relancent les Wolves par l’intermédiaire de David Luiz, expulsé dans la foulée (45e+3), hypothéquant les chances de leur équipe.

Le mauvais réflexe de Leno 

Le gardien a le mauvais réflexe d’emporter le ballon avec son avant-bras lors d’une sortie en dehors de la surface de réparation. Carton rouge, Arsenal joue les 20 dernières minutes à neuf. Pas nécessaire.

Le tournant du match

David Luiz coupe la trajectoire de Willlian José en effleurant le talon de l’attaquant. Suffisant pour le déstabiliser mais surtout lourd de conséquences. Double peine : penalty et carton rouge.

L’instant Ultimo Diez

41e minute : Adama Traoré s’échappe dans son camp et entame un slalom digne de Lucas Moura lors d’un Classique. On y a cru pendant 2 secondes… le temps pour Partey de l’arrêter en plein vol. 

Crédit photo : PA Images / Icon Sport

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